L Association VinNatur ne s’arrête pas exclusivement à l’organisation d’événements dédiés à la promotion et la compréhension du vin naturel. Chaque année nous organisons des conférences thématiques, des études sont menées sur les sols et les techniques de vinification et, ceux depuis les trois dernières années, afin de surveiller la conformité des sociétés membres délégué, VinNatur a décidé d’analyser en profondeur les produits de chaque associé.

En 2010, les résultats étaient très satisfaisants, puisque certains vins 91, sur un total de 111 échantillons ont été complètement libre de tout type de pesticides.

En 2011, cependant l’analyse effectuée a vu la recherche de 88 ingrédients actifs des pesticides (c’est à dire tous les produits chimiques dans le commerce qui sont utilisés pour les soins de la vigne), la quantité de dioxyde de soufre (excellence de conservation nominale du vin) et le résidu le Cuivre métallique. Un travail intensif et exacts du moment qu’il est le processus le plus important de «l’auto-analyse » menée par une association de viticulteurs. Cette pratique est censée représenter la volonté de la clarté VinNatur pour fonctionner avec le plus grand respect pour les consommateurs et les professionnels dans le monde du vin.

Ces tests sont conçus pour sensibiliser les producteurs et les consommateurs sur l’utilisation de certains produits chimiques utilisés en agriculture, il est bon de rappeler que celles-ci, outre à provoquer des dommages encore aujourd’hui inconnus pour la santé humaine, laisse des résidus dans les vignes provanquant de graves déséquilibres avec des pertes de biodiversité et l’appauvrissement des écosystèmes de la terre.

Les résultats des analyses, ont conclu il ya quelques jours peuvent être résumées comme suit.

Sur un total de 132 échantillons analysés 110 ont été complètement libre de tout type de pesticide, tandis que les 22 autres ont seulement 1 actif et, dans certains cas plus d’un.

L’analyse du dioxyde de soufre total (méthode de distillation) a montré que 35 vins semblent avoir moins de 10 mg / l de dioxyde de soufre (la loi permet dans de tels cas d’apposer l’étiquette la mention « NE CONTIENT PAS DE SULFITES  »), le autres 97 vins sont en dessous de 70 mg / l à quelques exceptions près qui dépassent ce niveau, donc avec des valeurs bien inférieures à la moyenne des vins conventionnels. Le suivi du Cuivre résiduel a montré, avec une grande satisfaction que dans l’ensemble, tous les vins ne dépassent pas la valeur de 0,5 mg / l, très bon résultat en considérant que la valeur limite par la loi est de 2,0 mg / l. Voyons maintenant en détail les résultats des analyses:

Totale de vin avec des résidus de pesticides: 22, 12 Italiens, 5 français et 5 slovène

Nombre d’ingrédients actifs trouvés: 17 vins avec un seul ingrédient actif, trois par trois et deux actifs avec quatre ingrédients actifs.

Moyenne mg / kg (milligrammes d’un livre) sur les résidus trouvés sur 22 échantillons:0.076 mg / kg (les règles de l’UE prévoient une limite moyenne de 0,800 mg / kg)

Les ingrédients actifs trouvés: 16 dont 13 fongicides systémiques et 3 insecticides. Les plus détectés fenhexamide (antibotritico fongicide) et pyriméthanil (antioidico fongicide).

Ces résultats peuvent être considérés comme positifs, même par rapport à ceux trouvés l’année dernière. Les valeurs moyennes peuvent souvent être attribués à la dérive des problèmes (pollution provenant de vignobles voisins) ou à partir de raisins achetés, donc pas géré directement par le producteur. Conformément à l’affiche, et en l’absence de raisons claires et plausibles, le conseil d’administration, pourra procèder à l’éviction de l’association les producteurs ayant des pesticides. En cas de pollution répétée depuis l’année précédente, le producteur se verra automatiquement revoquer l’adhésion.

L’association VinNatur ne veut être punitives à l’encontre des producteurs, mais simplement de faire réfléchir, sur l’utilisation de pesticides provient souvent de la nécessité de recourir à un remède draconien, en dépit de leur prise de conscience des risques environnementaux, pour répondre aux urgences dans lequel ont risquent la perte de la récolte.

L’objectif pour les années à venir est de parvenir à une connaissance et une croissance collective qui permettra l’inutilise des produits chimiques.