Objectif: réduire la dépendance sur le cuivre et le soufre.
Fort problablement d’ici 2016, il sera interdit l’utilisation du cuivre pour les traitements foliaires dans le vignoble. Il en est ainsi de loin le seul produit utilisé pour lutter contre le mildiou (maladie fongique qui affecte les feuilles et les grappes) autorisés dans la viticulture biologique.
La seule alternative sur le marché est aujourd’hui représentée par des produits chimiques endothérapie (qui entrent dans la circulation lymphatique de la plante) qui affectent le processus de la vie de la plante et l’écosystème environnant. Le cuivre sera interdite car durant le cours des années il s’accumule dans le sol, et en fait c’est un métal lourd qui crée divers problèmes de phytotoxicité et de l’appauvrissement de l’activité biologiques (champignons et bactéries) du sol.
Déjà dans de nombreux sols européens, c’est devunu un problème sérieux et cette législation européenne veut éviter que le problème ne devienne irréversible.
Pour le moment on essaie d’utiliser des produits qui limitent la quantité de cuivre libérés, tels que le gluconate de cuivre, ce qui permet des doses inférieures de 80% par rapport à l’exploitation minière du cuivre
Le soufre est utilisé pour combattre l’oïdium, une autre maladie fongique qui affecte les grappes de la vigne. Il a moins d’impact que le cuivre, il ne crée pas de résidu dangereux dans le sol. Cependant, des études récentes ont établi que le soufre est nocif pour de nombreuses levures présentes dans la peau du raisin, ce qui provoque une perte de biodiversité et par conséquent, l’obtention d’ un profil aromatique du vin moins étendu et unique.
VinNatur à partir de 2011 a collaboré avec le Centre Expérimental de Viticulture durable à Panzano in Chianti. Ici, sur la base des expériences de ces dernières années, certains choix se sont tournés ves des molécules naturelles agissant tonique (fortifiant pour les plantes) pour être testé dans des essais de terrain mis en place dans cinq régions différentes des producteurs de l’Association (afin d’évaluer son potentiel dans différents environnements avec leurs cultivars indigènes: Aglianico deCampanie, Vénétie Garganega, Malvasia di Candia aromatiques Emilie, Piémont Nebbiolo et Sangiovese en Toscane).
Dans chacun des vignobles de producteurs sera testé six formulations contre le mildiou, l’oïdium. Chaque plan expérimental a été préparée conformément aux critères de phytoiatric statistiques, offrant la possibilité de comparer les résultats des différents produits à l’étude avec un programme de défense biologique classique (cuivre et soufre) et non traitées avec un produit quelconque.
En plus de réduire l’impact sur l’environnement, cet essai vise à diminuer le nombre total de traitements avec des avantages économiques et compactage du sol. Mais le plus grand avantage est le fait que grâce à ces inducteurs de résistance, la plante n’est plus appelée à se défendre passivement, mais de façon active.
En fait avec les fongicides ont travaille sur les effets(car vous combatter l’agressivité des champignons, en fait), avec des fortifiants qui agisse sur les causes, avec le grand avantage d’augmenter le bien-être de la santé des végétaux et de la qualité du produit. Sur la voie d’une viticulture plus naturelle, cet essai représente une étape importante aussi en vue de créer un modèle de production de mesure réelle à l’homme et l’environnement.